jeudi 1 avril 2010

Quarantième rugissant


Tu étais un bout de femme aux cheveux flamboyant.
Je ne t'ai connue qu'un peu, il y a longtemps, quelques mois de ta courte vie.

Je ne veux pas savoir ce qui t'a consumée si vite, j'aurais aimé te parler un jour, pensant en avoir le temps, ce sera l'un de mes plus grands regrets, celui que l'on partage certainement tous ici-bas.

Alors mes souvenirs de toi, ce petit 40ième de toi, ce sera la flamme que les vents rugissants n'auront pas réussi à éteindre.

Cette flamme est dans mon coeur, je ne t'oublierai pas.


l'autre Oli

3 commentaires:

  1. "Cette sale caboche, elle ne s'exprime que quand ça fait mal..." J'suis pas d'accord, elle s'exprime aussi quand ça va bien je crois... juste différemment... avec d'autres mots...
    Si besoin de... parler, échanger, refaire le monde, Paris c'est bien aussi et la porte est ouverte.

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  2. @P'tite Green : Tu as raison, et j'aimerais sauter dans un train refaire le monde comme tu dis :o) Miss U all

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  3. Une des facettes méconnues d'Oli.

    faire de belles phrases ça rim beau,
    ... ou rend beau, qui dirait Sly.

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